Les Écoles ÉlÉmentaires
Le CNAREP Sur le Pont s’est inscrit pour l’année scolaire 2017-2018 au sein du dispositif P[Art]cours dans les « collections particulières » de la ville.
Imaginé comme un « parcours du spectateur », ce cycle de rencontres a offert plus particulièrement aux élèves de CE2/CM1 et de CM2 de l’école primaire Simone Veil, anciennement nommé Le Prieuré, une sensibilisation aux arts de la rue dans toute leur diversité. Des échanges avec les artistes, répétitions commentées, et ateliers de pratique artistique ont été déployés de 2017 à 2020.
À la rentrée scolaire 2020, c’est l’école primaire Paul Doumer qui prend le relai, permettant à la classe de CM2 de pouvoir participer aux activités du CNAREP Sur le Pont.
En septembre 2022, c’est avec la classe de CM1-CM2 de Mme Jouannais de l’école Jean Bart que le CNAREP Sur le Pont tisse des liens privilégiés avec un parcours spécial tout au long de l’année autour du projet participatif de territoire Nos Cabanes et de son spectacle final la cabane à Plume(s).
Le dispositif global imaginé par le CNAREP Sur le Pont se décline à partir des résidences programmées. Les élèves sont invités à partager différents temps avec chacune des équipes artistiques en :
- assistant à une répétition commentée sur temps scolaire pour permettre aux élèves de découvrir l’envers du décor et d’observer une équipe au travail,
- approfondissant la découverte d’un univers artistique par un atelier de pratique d’une durée d’une heure à une heure trente selon les outils propres à la création accueillie (danse, jeu du comédien, construction, manipulation, etc.),
- assistant à une sortie de résidence tout public afin de décloisonner la création artistique et permettre à tous d’assister à une étape de création et d’échanger avec les artistes (implication des cercles familiaux et amicaux des élèves).
En outre, le CNAREP Sur le Pont remet aux enseignant·e·s un document pédagogique À la découverte des arts de la rue et des fiches pédagogiques pour chaque projet artistique. Ils permettent de créer un fil conducteur en amont et en aval des temps organisés auprès des artistes. La question de la trace individuelle et collective est également développée, – création de documents en arts plastiques par exemple – et il est possible de tirer profit de cette expérience pour nourrir les spectacles de fin d’année.